• Marine Le Pen, député européen, vice-présidente du FN, exprime sa profonde reconnaissance au peuple irlandais qui en votant massivement NON, est devenu le porte-parole des centaines de millions d’Européens rejetant les politiques totalitaires et anti-nationales de Bruxelles.

    Cette victoire éclatante du Non démontre que l’Europe ne peut se faire contre les peuples et les Nations qui la composent. Après les NON Français et néerlandais en 2005, le rejet par les Irlandais du traité européen de Lisbonne, doit mettre fin à la construction d’une Europe supra nationale et mondialiste qui ne respecte pas l’identité, la souveraineté, les libertés, et la prospérité des peuples européens.

    Le peuple irlandais vient de surcroît de donner une cinglante leçon de démocratie à Nicolas Sarkozy futur président de l’Union européenne.


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  • L'exemple suisse mérite notre attention, bien au delà de la victoire de l'UDC et de son chef, Christoph Blocher.

    La Suisse a mille ans d'avance sur l'Europe. Ils ont bâti leur Etat, en faisant fi des barrières linguistiques et communautaires, en unissant leurs efforts pour le bien commun, alors que presque partout ailleurs en Europe on égorgeait son voisin de palier parce qu'il ne priait pas le même Dieu, ou plutôt, parce qu'il ne priait pas de la même manière.

    Ils ont su dépasser leurs différences de langue, de culture, de mode de vie. Ils ont donné la parole au peuple d'une manière que même aujourd'hui les autres "démocraties" ne peuvent qu'envier : la démocratie directe, le REFERENDUM, appelé là-bas "votation". Pour comparer, le voisin du nord (l'Allemagne) interdit le référendum dans le texte même de sa Constitution, alors que le voisin de l'ouest (la France) s'interroge  lourdement sur le sujet (il est vrai, les Français commencent à "mal voter" depuis quelque temps ... le pouvoir ne  s'y retrouve plus).

    Mais tout a une limite. En Suisse, la limite est posée par l'intelligence pragmatique et le simple bon sens des citoyens. Et, comme c'est bizarre : leurs CHOIX collectifs sont très différents des nôtres !!!

    Devinez qui a tort, qui a raison : Nous sommes passés à l'euro, ils ont gardé le franc, nous avons ouvert portes et fenêtres à tous les vents, eux à peine et à bon escient, nous recevons nos ordres de Bruxelles, eux sont restés maitres chez eux, nous sommes aux 35 heures, eux sont restés à 40, mais gagnent souvent le double pour le même boulot, nous taxons à mort les riches et les pauvres mais sommes toujours dans le rouge vif coté budget, eux récupèrent nos riches et enrichissent nos pauvres (demandez leur salaire aux infirmières qui travaillent à Genève ... elles gagnent mieux qu'un directeur d'hôpital chez nous).

    C'est ça la réalité, forgée par des siècles de travail patient et intelligent, à l'abri de la démagogie qui hante depuis toujours les capitales européennes. Quand un Blocher dit enfin la verité, trop c'est trop, faisons le ménage, ses concitoyens l'écoutent, le pays se redresse et va dans la bonne direction.

    Mais qu'est-ce qu'on attend en France, à la fin ? Pourquoi les patriotes (de droite ou de gauche) se retrouvent systématiquement bâillonnés et font des scores minables aux élections ? Pourquoi sommes-nous condamnés pour l'éternité à subir la médiocrité agressive - hystérique d'un Hollande, d'un Vilepin ou de bien d'autres de leur espèce ? Par quel miracle des "droit commun" arrivent encore et toujours à gagner des élections, municipales ou à l'Assemblée Nationale ?


    Vive la Suisse.  Prenons-en de la graine.  



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  • Pour prendre des mesurettes inutiles, le gouvernement est bon ! Mais pour adopter les vraies lois qui protègeraient la France de l'immigration massive, là, il n'y a que des opposants.

    Les vraies dispositions seraient de partir du principe de l'arrêt de l'immigration, avec des exceptions précises. En effet, en France nous avons 5 millions de chômeurs et 12 millions de travailleurs pauvres. Commençons par nous occuper d'eux avant d'en accueilir d'autres. Puis, il faudrait retrouver notre souveraineté nationale et nos frontières.

    Pourquoi faire des tests ADN pour le regroupement familial puisque, par ailleurs, des centaines de milliers de clandestins vivent sur notre territoire, illégalement, et se permettent, pour certains de squatter des gymnases et d'obtenir leur régularisation, et leur relogement avant les familles françaises !

    De plus, selon le journal Le Monde, ce serait un amendement "proposant aux demandeurs du regroupement familial de recourir à des tests ADN", donc une mesure non obligatoire, basée sur le volontariat.

    Brice Hortefeux propose en plus une "une mise en œuvre progressive" et "provisoire" des tests ADN..

    Enfin, cerise sur le gâteau, Matignon a proposé que le coût du test serait  remboursé par l'Etat "si la filiation est bien établie".

    Les Français en paieraient donc le prix !

    De même, à l'heure où la Grande-Bretagne se propose de régulariser près de 400 000 clandestins, lesquels pourraient ensuite s'installer dans n'importe quel pays européen, et si possible, dans un pays où les lois sociales seraient les plus avantageuses, quelle est donc la valeur d'une telle proposition ?!

    Ce projet de loi est disproportionné par rapport à l'ampleur du phénomène migratoire.

    C'est un pansement sur une jambe de bois, destiné à faire de la publicité à la Droite française.

    Opération marketing pour une mesure strictement cosmétique.

     

     

     

     

     

     


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  • analyse personnelle de la situation :

     

    La confortable victoire de Nicolas Sarkozy  repose essentiellement sur une manipulation éhontée de l’opinion publique grâce à une astucieuse campagne de communication qui a joué sur le registre d’une droite soit-disant décomplexée.

     

    Mais en mettant en avant les vraies valeurs de la droite, tactique ouvertement destinée à éliminer le Front national qui revendiquait franchement ces valeurs depuis trente ans, Sarkozy a joué un numéro d’artiste illusionniste qui n’a pas trompé les électeurs perspicaces et encore moins le front national. Ceux qui se sont fait soit disant happés par l’UMP, l’ont moins fait par conviction que pour échapper à un gouvernement socialiste et à Mme ROYAL qui a montré les limites d’un programme éculé et arriéré.

     Sarkozy en reprenant à dessein électoral les idées, les phrases, les formules, les discours du Front national a bien senti que le peuple y serait sensible surtout après le carnage de 2002 et après les résultats très ambigus de sa politique à l’UMP et au ministère de l’intérieur.

     Mais ne vous fiez pas aux apparences : Il n’a en réalité ni la volonté ni le pouvoir d’appliquer les mesures utiles et nécessaires pour le redressement de la France et de la nation à cause de sa dépendance à l’Europe fédérale qu’il entend relancer.

     D’ailleurs, son premier discours après son élection à la présidence aurait du mettre la puce à l’oreille. Peu de mots pour la France mais une posture franchement mondialiste. Il a parlé de l’Afrique, d’une sibylline union-méditerranéenne, des Etats-Unis, des pauvres dans le monde, etc. Et ses actes iront dans ce sens.

     Mais j’incline à penser que lorsque Nicolas Sarkozy nous dit qu’il aime la France et qu’il veut restaurer ses valeurs, il trompe les citoyens Français d’une manière assez perfide. En effet, je crois que pour lui les termes « identité nationale » ne signifient pas la même chose pour lui que pour le front national. Il prône une sorte de diversité française qui s’apparente plus au multiculturalisme à l’américaine, qu’à la protection et à l’enrichissement de l’identité française, de son exception culturelle, traditionnelle, linguistique, politique, historique, etc. Exit la souveraineté, les frontières nationales, les protections douanières, etc etc.

     C’est la raison pour laquelle JM Le PEN n’a pas voulu cautionner sa candidature et à conseillé l’abstention.

     Sarkozy est peut-être un jeune champion ardent et pugnace qui a eu plus de chances de remporter le match grâce à ses contacts, ses pouvoirs, ses manipulations, mais il est loin d’être le perdreau de l’année ou le chevalier blanc parti reconquérir les territoires perdus de notre France.

     Bien que Le PEN a perdu ses élections, le front national a, à mon avis, de beaux jours devant lui car son but va être double :

     -         d’abord obliger Sarkozy à respecter ses « fausses » promesses et deuxièmement, comme ce dernier ne pourra pas les tenir, de montrer toute la démagogie et la fourberie d’un homme qui a usurpé une fausse identité par opportunisme et volonté de pouvoir.

     La France asservie au mondialisme rempant, les électeurs, trompés et spolliés dans leurs espérances réclameront une vraie politique populiste.

    Le choc du réveil pourrait bien être terrible.


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